Les écoliers portugais




Bonjour les enfants !

Voici quelques photos des écoliers portugais... habillés en uniforme, tous pareils !



Cela vous plairait-il ?!

Merci Alain !


Un grand merci à Alain, le papa de Nicolas de nous avoir accompagnés dans nos premières galères… et joies de naviguer sur notre bateau !

Alain a quitté Cascais pour rejoindre Ginette à Serrières-de-Briord.
Toujours de bonne humeur et d’une incroyable efficacité, tant pour le bricolage qu’il maîtrise en de nombreux domaines, qu’à la barre, en cuisine où il nous a mijoté de délicieux petits plat, à la vaisselle….



Un petit aperçu de l’un de ses nombreux talents… la pâtisserie, dont il a exercé le métier pendant 46 ans ! Dans cette petite vidéo, Alain vous dévoile les secrets de la tarte au sucre…
A visualiser bientôt, petits soucis de mise en ligne...

Cascais (prononcer "Cachkaïch''), 25 novembre


Cascais, petit ville très proprette et chicos, à 15 minutes en train du centre de Lisbonne… grâce à un T.E.R. ponctuel et bordant la mer… je ne vous dis pas le panorama, autre chose que la ligne D du R.E.R… et une petite pensée pour les parisiens qui galèrent… j’espère que la SNCF et RATP ont fini de vous faire des misères !

Sur les pontons, nous avons l’heureuse surprise de retrouver un équipage français qui convoie un gros catamaran, type « Laguna », pour les chanceux qui connaissent et ont déjà goûté au confort de cet hôtel flottant ! L’équipage nous avait laissés à La Coruna, alors que nous étions en réparation, ils n’ont finalement pas plus avancé que nous, trouvant les conditions difficiles, voire dangereuses… nous ne somme pas tant « à la ramasse » que cela !

Et oui, nous avons été effleurés par le doute… nous nous apercevons au fil de nos rencontres que nous naviguons sur un petit bateau... anglais, suisses, hollandais, allemands et français croisés sur les pontons embarquent sur de beaux et relativement neufs type 13-14 mètres, plutôt que les 10,65 mètres d’Emilie et ses 23 ans !
Cette escale rime pour Nicolas avec nouvelles petites réparations : du jeu dans la barre, une pompe de câle qui lui donne définitivement du fil à retordre, un 2ème mouillage à trouver pour nos futures escales hors des pontons… Pour Séverine, 2 jours clouée au lit dans l’obscurité pour cause de migraine façon enclume, fièvre et courbatures comme au lendemain de l’ascension du Mont Blanc… repos et fortes doses de doliprane ont eu raison du virus (grippal, docteur ?!) et la bête est à nouveau sur pattes !

Mal à ta tête ?!

Cascais en images...
Une petite dernière spécialement pour les collègues qui bichonnent les mairies d'Ile-de-France... ci-dessus je vous présente la mairie de Cascais.... au top de l'illuminatation !

Baiona – Cascais, 220 miles (23/25 novembre 2007)

Après 2 jours et 1 nuit très ventées, nous sommes arrivés à Cascais, banlieue chic de Lisbonne et très agréable petite station balnéaire.
Nous avons quitté l’Espagne sous un vent forcissant à 30 nœuds et par près de 4 mètres de creux la nuit. Un bon vent du nord, encore bien frais, nous poussait dans la bonne direction, au portant. La pleine lune éclairait des vagues très formées, qui arrivant par l’arrière nous donnaient l’impression de surfer et d’appuyer sur le champignon ! Certaines, plus vicieuses, déferlaient de ¾, crachant leur écume sur la tête du barreur… avec le mérite de le tenir ainsi éveillé ! Le génois seul, déployé au tiers de sa capacité, nous permettait de naviguer à 6, 7 et parfois à 8 nœuds, ce qui est beaucoup pour notre petite embarcation !

A l’intérieur du bateau, fortes secousses, bruits sans discontinu des flots et entrechocs de tout ce que peuvent contenir nos placards. Dans de telles conditions de navigation, pas grand-chose à faire d’autre que de se faire les biscotos à la barre ou d’aller dormir… pour ma part, je suis autrement assurée d’aller « nourrir les poissons ». L’amarinage ne se fera donc pas en douceur cette année, tel un marcheur supporte de voir partir la peau de ses pieds en lambeaux, sous l’effet des ampoules en série… avant qu’une 2ème peau protectrice et robuste ne vienne prendre efficacement le relais !