Il n'y a pas que les conducteurs de trains, de bus et métrosqui font la mauvaise tête... les alizés ne sont pas au RDV, les voilesbattent, obligés de mettre le moteur en marche quelques heures pours'épargner la marche arrière... et le temps défile sans qu'Emilie neparcourt les miles escomptés. Rare vent, du sud ou d'ouest pour ne rienarranger et ni rien comprendre !!Dur, car à mesure que le calme s'installe, notre voyage dérape dans le temps...Nous faisons route plein sud vers les Iles du Cap Vert, où nouspasserons finalement sans doute les fêtes. On ne va pas se plaindred'aller se trémousser le 31 sous des airs de Césaria Evora, à siroter laCaipirina, en short et tongs ! A suivre...