Et oui, notre Emilie n’est plus toute jeune, 23 ans déjà ! Nicolas l’a revisitée et a consacré ses weeks-ends et vacances, 9 mois durant, pour la « moderniser »… mais nous constatons encore des fuites d’eau, une pompe de câle électrique qui ne fait justement pas son boulot d’évacuation de l’eau stagnant dans les fonds du bateau ; un parc de batteries qui ne stocke pas encore l’énergie comme nous le souhaiterions.
Et puis, grosse avarie technique… à quelques 120 miles des côtes, la bôme de la grand voile s’est soudainement cassée en 2 ! Et si, c’est possible ! Nous avons pu réagir vite et « sauver » notre grande voile neuve qui n’aura besoin que de quelques points de « couture » pour retrouver sa beauté initiale.
Quant à la bôme, Nicolas a vite fait de trouver les bonnes informations auprès de Jo, un anglais dont le bateau est posté près du notre… depuis 2 ans ! Un « shipchandler » est en mesure de nous en proposer une nouvelle bôme d’ici quelques jours… pour la modique somme de 750 euros… aïe aïe aïe.
Le bateau est donc à nouveau « en chantier » pour quelques jours, dans le port et la sympathique ville de « La Coruña », en Corogne, comme vous l’avez deviné avec perspicacité. Quelques sangrias, tapas et l´ambiance nocturne espagnole nous récompensent de journées de bricolage, nettoyage, lessivage bien chargées…
Les enfants ! Nous avions beaucoup travaillé, mais notre première traversée hauturière (c’est-à-dire en « haute mer ») ne s’est pas déroulée comme nous l’envisagions, car nous avons rencontré de nouvelles difficultés… alors, on s’arrête, on recommence, on se remet au travail pour « réparer » et encore mieux préparer Emilie. Car on y croit et on pense bien réussir à réaliser notre projet… peut-être peut-on appeler cela la « persévérance » ? A plus...
Quant à la bôme, Nicolas a vite fait de trouver les bonnes informations auprès de Jo, un anglais dont le bateau est posté près du notre… depuis 2 ans ! Un « shipchandler » est en mesure de nous en proposer une nouvelle bôme d’ici quelques jours… pour la modique somme de 750 euros… aïe aïe aïe.
Le bateau est donc à nouveau « en chantier » pour quelques jours, dans le port et la sympathique ville de « La Coruña », en Corogne, comme vous l’avez deviné avec perspicacité. Quelques sangrias, tapas et l´ambiance nocturne espagnole nous récompensent de journées de bricolage, nettoyage, lessivage bien chargées…
Les enfants ! Nous avions beaucoup travaillé, mais notre première traversée hauturière (c’est-à-dire en « haute mer ») ne s’est pas déroulée comme nous l’envisagions, car nous avons rencontré de nouvelles difficultés… alors, on s’arrête, on recommence, on se remet au travail pour « réparer » et encore mieux préparer Emilie. Car on y croit et on pense bien réussir à réaliser notre projet… peut-être peut-on appeler cela la « persévérance » ? A plus...